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Ofelia Verdi

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Message par Ofelia Verdi Ven 24 Avr - 19:09


Ofelia Verdi



« QUELQUES INFORMATIONS ; »







Ofelia Verdi  1eamLGBe
Date de Naissance : 31/12/1987
Année d’Etude (si élève) : Encore trop jeune pour aller à Poudlard
Monde d'origine : Monde d'Harry Potter
Statut du sang : sang-mêlé
Maison à Poudlard (si élève, le Choixpeau décide pour vous, mais vous pouvez indiquer votre préférence) : /
Fonction particulière/Emploi /
Allégeance : Neutre, mais toute sa sympathie va à l'Ordre du Phénix
Acteur sur l’avatar : Mélissa sue Anderson

« CARACTERE ; »


Ofelia était une enfant d’un grand courage, mais aussi téméraire et impulsive. De sorte que si elle avait appris à toujours faire de son mieux devant l’obstacle, à ne jamais baisser les bras en situation difficile, elle avait également développé une tendance à foncer, sans réfléchir, en dépit du danger que pouvait représenter une situation. Ce qui ne signifiait pas qu’elle ne connaissait pas la peur, mais qu'elle l'affrontait quand elle se présentait. Cela avait aussi pour conséquence qu’autant que possible, elle ne laissait pas ses actes dictés par cette émotion.
Dotée d’un sens aigu du bien et du mal pour son âge, la justice était une valeur fondamentale à ses yeux. Vive, dotée d’un fort caractère, elle entrait assez facilement dans des colères noires.
Le cœur sur la main, elle volait volontiers au secours de ceux qui en avaient besoin.
Naturellement très réservée, sensible et émotive, tout était tout blanc ou tout noir pour elle, elle vivait ses émotions dans toute leur ampleur (si ce n’était plus) et avait toujours eu tendance à peu partager les choses difficiles. Sa vie avait accentué sa réserve, qui était devenue extrême. Raconter son histoire d’une manière ou d’une autre ou encore parler, si jamais elle en retrouvait la faculté, lui paraissait de l’ordre du quasi-impossible et du quasi-insurmontable. D’autant que les épreuves qu’elle avait traversées lui avaient fait perdre toute confiance dans le genre humain. De ce fait, elle avait également acquis la tendance à se montrer sur la défensive. De par sa sensibilité, elle lisait également assez facilement en autrui. Timide, elle n’était jamais allée facilement vers les autres.
Intelligente et curieuse, elle pouvait se révéler touche à tout. Pour l’heure, d’un point de vue des connaissances, cela ne lui avait guère profité, puisque son instruction avait été laissée de côté. Elle n’en était pas moins avide de découvertes.
Pendant ses premières années, la petite fille s’était montrée joviale, enjouée, dotée d’humour, autant de traits de caractère qui peinaient à ressortir après toutes les épreuves qu’elle avait endurées.
Ses passions ? Entendre des histoires, regarder les étoiles – même si elle était incapable de les reconnaître ou d’identifier une constellation -, la musique, et plus particulièrement le violon qui lui manquait.


« VOTRE HISTOIRE D'AVANT »


Il y a huit ans de cela, en plein cœur de l’hiver, par un jour de neige, Ofelia naquit dans le village de Godric’s Hollow. Sa mère, Isabel était anglo-argentine et auror. Quant à son père, il s’appelait Gianni, était italo-anglais et lui aussi auror. La petite fille avait manqué de peu jouer les cadeaux du nouvel an pour ses parents. Ces trois premières années furent ponctuées de rires, d’amour et de joie. Rien ne pouvait être plus merveilleux que le sourire d’Ofelia pour ses parents qui la choyaient.
A cet âge, Ofelia, qui entendait son père jouer depuis son plus jeune âge, s’intéressa de plus près à son violon. Voyant cela, Gianni décida d’enseigner à jouer du violon à sa fille. Encore deux années passèrent, dans le bonheur le plus complet.
Jusqu’au jour où les pouvoirs de sorcière de la petite fille se révélèrent. C’est ainsi qu’ayant fait un cauchemar et souhaitant se retrouver avec ses parents, elle disparut de sa chambre pour apparaître dans celle de ses parents, sur leur lit.

Ofelia avait six ans lorsque son père partit pour une mission plus longue et plus périlleuse que les autres. Il en revint, mais gravement blessé. Isabel n’eût pas le temps de l’emmener à sainte mangouste et il s’éteint sous les yeux de sa femme et de sa fille.
Il fallut un moment pour qu’Isabel se rappelât que sa fille était toujours là et avait dû assister à la scène. Elle prit donc Ofelia dans ses bras, qui semblait choquée. La nuit suivante, la petite fille appelait ses parents, à cause d’un nouveau cauchemar qu’elle avait fait. Sa mère vint la rassurer et la réconforter comme elle le pouvait.
De ce jour, il sembla à Ofelia avait perdu les quelques notions de temps qu’elle possédait alors. Toujours est-il qu’elle n’aurait su dire si des jours, des semaines ou des mois étaient passés jusqu’à celui où sa mère fit précipitamment leurs bagages. Et le violon resta là, dans cette maison. Et les deux sorcières quittèrent les lieux, fuyant. Ofelia comprendrait plus tard que sa mère savait que des Mangemorts (encore actifs « pour le plaisir » malgré la disparition de leur maître) la poursuivaient, savaient où elles demeuraient et comptaient mettre fin à sa vie. Et effectivement, quelques heures après leur départ, ils s’y introduisirent, s’aperçurent qu’elle était vide, l’ayant retournée de fond en comble.
Isabel était alors avec sa fille en pleine campagne, fuyant à pieds, considérant ce mode de transport plus « discret ». Leurs poursuivants eurent tôt fait de retrouver leur trace. Isabel ayant perçu que le danger se rapprochait cacha sa fille derrière un arbre centenaire lui intimant de se taire et de ne pas bouger. De sorte que de là où ils venaient, les assaillants ne voyaient pas l'enfant. Et puis, Ofelia n’était pas la première de leurs préoccupations. De là où elle était, la fillette s’aperçut que des hommes, dont elle ne put distinguer les visages, vêtus de cagoules, s’approchaient d’elles.
Isabel dû donc affronter les Mangemorts, mais le combat était par trop inégal et quand les Mangemorts eurent assez « joué » avec elle, elle ne put éviter un Avada Kedavra. Isabel étant morte, ses assassins regardèrent autour d’eux et se rendirent bien vite compte que l’arbre cachait la petite sorcière.
C’est ainsi que les Mangemorts découvrirent l’existence d’Ofelia qu’ils décidèrent d’emmener avec eux. A l’approche de leur repère, Ofelia, à la fois paniquée et furieuse, se débattit de toutes ses forces, bien inférieures à celles de ses ravisseurs. Elle y gagna d’être ligotée plus étroitement à l’aide d’un sortilège, un imperium pour la forcer à obéir qui fut triplé d’un sortilège doloris une fois arrivés à destination. Après quoi ils l’enfermèrent dans une petite pièce aveugle, étroite, froide et humide.
Elle passa les mois qui suivirent dans cette geôle, ignorant s’il s’agissait de semaines, de mois ou d’années. Le temps lui paraissait bien long. Ils auraient bien voulu la contraindre à se rallier à leur cause : à savoir trouver le moyen de faire revenir Voldemort - qui ressuscita durant l'emprisonnement de l'enfant - avant de prendre le pouvoir, mais il n’en était pas question ! Elle n’avait de cesse de manifester par tous les moyens possibles sa vive opposition à ce projet. Elle était donc la cible de sortilèges impardonnables, de « jeux » et « d’expériences » de Mangemorts. Expériences à cause desquelles elle perdit progressivement et durablement la vue. Ce fut en même temps qu’elle cessa totalement de parler. Etait-ce lié au traumatisme qu’elle subissait ou aux expériences dont elle avait été l’objet ? C’est ce qu’il resterait à découvrir. Dans tous les cas, c’était destiné là aussi à durer.
Jamais elle ne se plaignait ou n’implorait pitié malgré les souffrances qui lui étaient infligées, mais elle cherchait un moyen de fuir. Un jour, l’occasion se présenta. Un jeune garçon d’environ seize ans, qui devait faire ses preuves pour devenir Mangemort, la prit en pitié, et loin des regards, oublia volontairement de fermer la porte de la pièce où elle se trouvait. C’était l’occasion pour elle de partir, mais elle était encore sous l’emprise des sortilèges qu’elle avait subis et avait bien du mal à se mouvoir, partir encore plus. Alors, vérifiant que la voie était libre, c’est tout juste s’il ne la porta pas hors du bâtiment, puis l’effraya, afin de provoquer l’instinct de survie de la petite fille. Et cela fonctionna, malgré son état, elle prit les jambes à son cou, s’effondrant à une distance digne de ce nom de sa prison. Elle le fit dans un tas de foin, dans un champ.
Frustrés qu’elle se fût échappée et d’avoir perdu sa trace, ses ravisseurs n’auraient de cesse de la chercher, pour récupérer leur « jouet ». Et ce danger planerait donc encore sur la petite fille.
Les moldus qui la trouvèrent dans le champ l’emmenèrent chez eux, le temps de lui apporter les premiers soins : ils s’occupèrent des plaies apparentes, lui donnèrent à manger et à boire, mais ne pouvaient lui assurer durablement gîte et couvert. Ils la confièrent donc aux autorités compétentes. Comme il s’agissait d’une enfant, leur premier réflexe fut de la placer dans une famille qui semblait bienveillante.
En arrivant dans sa nouvelle famille, Ofelia avait voulu raconter son histoire, ce même sans « parler ». Elle se heurta à une fin de non recevoir. Ça n’intéressait pas ces gens de savoir qui elle était, ce qu’elle avait vécu, et plus encore, ils lui interdirent de ne fût-ce qu’évoquer ce qu’elle avait traversé. Aurait-elle voulu avoir une « conversation » portant sur tout et sur rien, ce qui aurait déjà été compliqué pour elle, qu’en plus elle n’aurait pas davantage rencontré d’oreille attentive, estimait-elle. Pas une fois, cette famille n’entendit le son de sa voix.
La famille moldue donna donc une simple paillasse en guise de lit à l’enfant. Ça serait bien suffisant, pour elle, non ? En guise de chambre, on lui attribua la cuisine, jamais chauffée. Pendant plusieurs mois supplémentaires – Ofelia n’aurait su dire combien – la petite fille vécut là, portant l’eau, servant à table, faisant le ménage, reprisant comme elle le pouvait, bref, faisant toutes les tâches d’une domestique - qu’elle pouvait réaliser plus ou moins bien en étant aveugle -, pour la famille. Toujours levée à l’aube et couchée tard, faisant plus qu’une enfant de son âge ne pouvait en supporter. Elle n’avait guère le temps de se divertir ou de s’amuser. En somme, elle était traitée comme une véritable Cosette. C’était là qu’elle se trouvait lorsque se produisit la fusion entre les deux mondes.


« ET DEPUIS ? »


Ofelia ne s’était aperçue de rien quant à la fusion des mondes. C’est qu’à l’endroit précis où elle se trouvait alors, ça n’avait pas eu de conséquence. Fatiguée du traitement dont elle était l’objet dans cette maison, d’être toujours exploitée, et effectuant ses tâches maladroitement du fait de sa cécité, des incidents commencèrent à se multiplier là où elle se trouvait. Des disparitions soudaines de l’enfant qui se retrouvait dans les endroits les plus improbables sans l’avoir décidé – toujours dans des moments inopportuns -, des couverts, des éléments de décoration, qui se fracassaient au sol, des points grossiers, faits au mauvais endroits ou mal faits, des inondations,… – l’enfant commettant ces erreurs de fatigue ou parce qu’elle ne pouvait voir ce qu’elle faisait -. Ni elle ni les moldus ne comprenaient ses disparitions, mais du point de vue des moldus, elle était responsable de tout. De ce fait, à chaque fois, ils la battaient, furieux.
Si bien qu’un jour, avant le lever du soleil, elle était debout. Elle n’avait guère d’affaires personnelles et rien qui comptât pour elle. Elle se débrouilla pour emporter un peu de pain et d’eau. Elle avait décidé de fuguer, d’aller voir ailleurs si le destin serait plus clément avec elle. Elle courut jusqu’à n’avoir plus la force de le faire. Une fois loin de la maison, elle s’attaqua au pain et à l’eau. Encore une fois, elle n’aurait su dire combien de temps avait duré son errance. Des jours, des semaines ? Toujours est-il qu’elle finit par se retrouver sans pain et sans eau. De temps en temps, elle trouvait de l’eau ou parvenait à s’alimenter, mais son but principal restait de mettre de la distance entre les Mangemorts, les moldus et elle. La petite fille ne connaissait pas sa géographie – elle n’avait plus vraiment reçu d’instruction depuis la mort de ses parents – et ignorait donc totalement où elle allait. En réalité, elle s’était rapprochée de Londres et avait atterri dans la campagne alentour. Son retour dans le monde des sorciers ne devait pas se faire sans heurts. Et elle devait découvrir à ses dépens que tout danger n’était pas encore écarté.


« VOUS ; »






Ofelia Verdi  200424105056856557
Pseudo : Sole
Double Comptes: A venir, voire multi-compte à venir
Comment avez-vous découvert le forum ? :Il fut un temps où j’ai tourné autour… Lu les rps… Sans m’y inscrire, j’ai dû considérer que le moment était mal choisi…. Donc à l’origine, je ne sais plus… Ça peut être aussi bien par l'une ou l'autre des admins qu'en regardant sur internet... Et j'ai su par Lily qu'il rouvrait
Code Réglement : Code validé
Un commentaire ? Eh bien, après donc avoir tourné un long moment autour de ce forum, me voilà !

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Message par Fenella Fraser Lun 27 Avr - 7:06

Mais c'eest quoi cette histoire ? T'as réussi a me faire pleurer ! Sad t’inquiète je vais bien m'occuper de toi moi !  cheers

BIENVENUE !
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Message par Ofelia Verdi Lun 27 Avr - 10:01

Merci!
Ça, c'est quand la créatrice décide de ne pas y aller mollo en corsant l'histoire...  Twisted Evil
Entre toi et Sirius, on aura une Ofelia bien entourée!
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Message par Le Choixpeau Magique Lun 27 Avr - 19:16

Hum... voilà qui est difficile, bien des Maisons pourront trouver une place pour toi, mais quand tu rejoindras Poudlard, tu seras une charmante Gryffondor !!!
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